Que l'échéance en soit fixée à la fin 2016 pour les "petites" copropriétés ou à fin 2018 pour les "grandes", aucun syndic n'y coupera...

La loi Alur a en effet imposé la création d'un registre national d'immatriculation des syndicats de copropriétés. Toutes les copropriétés devront y être inscrites d'ici à la fin 2018. L'objectif affiché de la mesure est simple, il faut tout d'abord que les pouvoirs publics aient connaissance des instigateurs, mais surtout que les dysfonctionnements soient moins fréquents.

Legifrance